Du Maghreb à la Polynésie, en passant par les Amériques, l’Afrique et l’Europe, des voix multiples font entendre leur attachement à des littératures francophones et à une langue qu’elles abordent sans idéalisme, dans l’espoir d’ouvrir à un métissage à la fois linguistique et culturel.
Qu’il s’agisse de l’enseignement, en situation de français langue étrangère et seconde, de la production littéraire, de la réception d’un pays à l’autre, les chercheurs soulignent l’intérêt d’une transmission qui ne serait pas en sens unique. Ils font le bilan et dessinent les perspectives des littératures francophones et des catégories conceptuelles qui les définissent, dans des cobtextes politiques, sociaux et linguitiques très divers.
À l’origine et au coeur de cette transmission l’écrivain francophone, confronté à un horizon d’attente codé, sommé d’inventer un langage témoignant de son origine et manifestant sa différence, tente de trouver sa propre statégie dans l’espoir de sauvegarder sa liberté et d’échapper au piège identitaire, comme l’attestent Maïssa Bey, Max Rippon et Aymen Hacen, invités d’honneur au colloque de Bordeaux.
Qu’il s’agisse de l’enseignement, en situation de français langue étrangère et seconde, de la production littéraire, de la réception d’un pays à l’autre, les chercheurs soulignent l’intérêt d’une transmission qui ne serait pas en sens unique. Ils font le bilan et dessinent les perspectives des littératures francophones et des catégories conceptuelles qui les définissent, dans des cobtextes politiques, sociaux et linguitiques très divers.
À l’origine et au coeur de cette transmission l’écrivain francophone, confronté à un horizon d’attente codé, sommé d’inventer un langage témoignant de son origine et manifestant sa différence, tente de trouver sa propre statégie dans l’espoir de sauvegarder sa liberté et d’échapper au piège identitaire, comme l’attestent Maïssa Bey, Max Rippon et Aymen Hacen, invités d’honneur au colloque de Bordeaux.