Le thème de la crise connaît dans les années vingt et trente du XXe siècle, dans les pays de langue allemande, une fortune sans précédent. Aucun secteur, semble-t-il, n’échappe à une lecture en termes de crise : crise des sciences, de la philosophie, de la médecine, du droit, du roman, des arts, crise morale…
Et les crises sectorielles paraissent renvoyer chacune à la crise au singulier, totale, englobante. Les auteurs des études réunies ici sont historiens, historiens de l’art, philosophes, germanistes spécialistes de littérature ou d’histoire des idées. Ils se penchent moins sur les aspects factuels de la crise ou des crises que sur la conscience de crise et sur les relations, complexes, entre crise et conscience de crise.
En examinant le discours philosophique, littéraire, artistique, autobiographique d’une époque qui s’est comme aucune autre analysée elle-même, ils tentent d’approcher la crise perçue, ressentie, et surtout interprétée, représentée. Ils éclairent et mettent en perspective les réflexions de différents philosophes, écrivains, artistes représentatifs des années vingt et trente, leurs diagnostics, les solutions qu’ils proposent et les recours qu’ils envisagent.
Horst Möller, Jean Mondot, Jacques Gandouly, Olivier Agard, Gilbert Merlio, Claudie Lavaud, Jean-Luc Garret, Bilge Ertugrul, Jean-Marie Paul, Stéphane Gödicke, Christine Mondon, Alain Cozic, Nicole Pelletier, Gérard Thiériot, Daglind Sonolet et Dominique Jarrassé ont participé à cet ouvrage.
Et les crises sectorielles paraissent renvoyer chacune à la crise au singulier, totale, englobante. Les auteurs des études réunies ici sont historiens, historiens de l’art, philosophes, germanistes spécialistes de littérature ou d’histoire des idées. Ils se penchent moins sur les aspects factuels de la crise ou des crises que sur la conscience de crise et sur les relations, complexes, entre crise et conscience de crise.
En examinant le discours philosophique, littéraire, artistique, autobiographique d’une époque qui s’est comme aucune autre analysée elle-même, ils tentent d’approcher la crise perçue, ressentie, et surtout interprétée, représentée. Ils éclairent et mettent en perspective les réflexions de différents philosophes, écrivains, artistes représentatifs des années vingt et trente, leurs diagnostics, les solutions qu’ils proposent et les recours qu’ils envisagent.
Horst Möller, Jean Mondot, Jacques Gandouly, Olivier Agard, Gilbert Merlio, Claudie Lavaud, Jean-Luc Garret, Bilge Ertugrul, Jean-Marie Paul, Stéphane Gödicke, Christine Mondon, Alain Cozic, Nicole Pelletier, Gérard Thiériot, Daglind Sonolet et Dominique Jarrassé ont participé à cet ouvrage.