Lire les Chants de Maldoror dans les parenthèses, ce n'est pas s'en tenir aux marges, encore moins à l'accessoire. Cet essai en fait foi.
En explorant le travail de ces proliférantes incidentes, il interroge le mouvement pulsionnel du texte, sa duplicité énonciative et, dans sa confrontation au tissu intertextuel, tout un fonctionnement de la mémoire à travers lequel le sujet se retrouve mais aussi se perd.
Un tel projet de lecture ne cherche pas à établir quelque vérité dernière de la poétique de Lautréamont, il tend à sympathiser avec les jeux retors d'une signifiance plurielle.
En explorant le travail de ces proliférantes incidentes, il interroge le mouvement pulsionnel du texte, sa duplicité énonciative et, dans sa confrontation au tissu intertextuel, tout un fonctionnement de la mémoire à travers lequel le sujet se retrouve mais aussi se perd.
Un tel projet de lecture ne cherche pas à établir quelque vérité dernière de la poétique de Lautréamont, il tend à sympathiser avec les jeux retors d'une signifiance plurielle.