La « littérature-monde » ou de manière analogique à la « World Music », « le concert des littératures », prend essentiellement en compte les littératures adaptées, traduites avec (in) fidélité, tolérées ou acceptées hors de leur contexte de création biographique, géographique et culturel. Cette considération embrasse avec une étonnante régularité des paramètres fixés par le lecteur-récepteur en quête des littératures d’ailleurs et des terres inconnues. Cet article compte situer la mondialisation dans un cadre qui se démarque des schémas habituels.