La question de la transmission et de la transgression des formes poétiques régulières est abordée ici à la fois dans la poésie occidentale, française en particulier (pensons au sonnet, à l’alexandrin), et dans la poésie orientale, japonaise en particulier (pensons au haïku), en tenant compte de la présence de formes japonaises dans la poésie française, et de formes françaises dans la poésie japonaise.
Après un article de réflexion générale (« Productivité des normes et plasticité des formes »), la Première Partie du volume (« Suite française 1 ») présente six articles sur la transmission et la transgression des formes régulières dans la poésie française du xixe siècle, de Nerval à Laforgue, en passant par Baudelaire, Banville, et Rimbaud.
La Deuxième Partie (« Suite française 2 ») rassemble cinq articles sur la relation problématique entretenue par plusieurs poètes du xxe siècle avec la question des formes régulières (Valéry, Péguy, Leiris, Jabès, Guillevic et Tardieu).
La Troisième Partie (« Croisements franco-japonais 1 ») analyse l’impact des formes japonaises dans la poésie française du début du xxe siècle (notamment dans les « haïkaïs » de Pierre Albert-Birot) puis dans l’oeuvre de Jacques Roubaud, en réfléchissant sur la réception de l’univers du haïku japonais dans la sensibilité occidentale.
Dans la Quatrième Partie (« Croisements franco-japonais 2 »), le trajet va, en sens inverse, de l’Occident vers l’Orient, et cinq contributions montrent les répercussions des formes de la poésie française dans la poésie japonaise du xxe siècle, et la façon dont les formes poétiques japonaises y sont travaillées par celles de la poésie occidentale.
Après un article de réflexion générale (« Productivité des normes et plasticité des formes »), la Première Partie du volume (« Suite française 1 ») présente six articles sur la transmission et la transgression des formes régulières dans la poésie française du xixe siècle, de Nerval à Laforgue, en passant par Baudelaire, Banville, et Rimbaud.
La Deuxième Partie (« Suite française 2 ») rassemble cinq articles sur la relation problématique entretenue par plusieurs poètes du xxe siècle avec la question des formes régulières (Valéry, Péguy, Leiris, Jabès, Guillevic et Tardieu).
La Troisième Partie (« Croisements franco-japonais 1 ») analyse l’impact des formes japonaises dans la poésie française du début du xxe siècle (notamment dans les « haïkaïs » de Pierre Albert-Birot) puis dans l’oeuvre de Jacques Roubaud, en réfléchissant sur la réception de l’univers du haïku japonais dans la sensibilité occidentale.
Dans la Quatrième Partie (« Croisements franco-japonais 2 »), le trajet va, en sens inverse, de l’Occident vers l’Orient, et cinq contributions montrent les répercussions des formes de la poésie française dans la poésie japonaise du xxe siècle, et la façon dont les formes poétiques japonaises y sont travaillées par celles de la poésie occidentale.