On ne peut plus accepter aujourd'hui que le stade soit ce «sanctuaire»
coubertinien «réservé au seul athlète consacré, purifié» devenu ainsi «une
sorte de prêtre, d'officiant de la religion musculaire». Les dirigeants
commencent d'ailleurs à le comprendre, acceptant de voir concourir aux Jeux
—qu'ils n'annulent pas pour autant— des athlètes que l'on paie largement
par ailleurs pour dispenser des spectacles de qualité où la performance
l'emporte sur la dévotion patriotique.
coubertinien «réservé au seul athlète consacré, purifié» devenu ainsi «une
sorte de prêtre, d'officiant de la religion musculaire». Les dirigeants
commencent d'ailleurs à le comprendre, acceptant de voir concourir aux Jeux
—qu'ils n'annulent pas pour autant— des athlètes que l'on paie largement
par ailleurs pour dispenser des spectacles de qualité où la performance
l'emporte sur la dévotion patriotique.