Au XIXe siècle, la haute montagne s’ouvre aux entreprises des premiers ascensionnistes, puis alpinistes. Pour opérer dans ce milieu mystérieux et rude, il convient d’en connaître les conditions et les règles.
Dans une intention d’échanges et de concertations, les "Défricheurs de la Haute Montagne", ont eu recours aux sociétés d’Alpinisme et à leurs revues. Le Club Alpin et ses publications ont donc constitué la réponse la plus appropriée à cette attente.
De ce fait, l’historien comme le lecteur, dispose d’un patrimoine documentaire remarquable. Celui-ci restitue quasiment, "en temps réel", la naissance et le développements des faits comme des idées à l’origine de l’évolution des connaissances dans le domaine de la haute montagne.
Le pittoresque décanté, bien des constations ou considérations, issues de ce passé plus ou moins lointain, demeurent d’actualité.
En ce sens, la mise à disposition de ce patrimoine actif est tout à la fois "retour d’expérience" et accès "au continuum de l’action".