Après l’étude géographique du premier volume, , une synthèse historique s’imposait pour montrer l’ancienneté de l’implantation viticole et les vicissitudes commerciales d’un produit d’exception : le cognac. Une eau-de-vie régionale presque banale qui, en quelques siècles, est partie à la conquête du monde et a réussi à s’imposer parmi les alcools les plus prestigieux.
Au travers d’une exploration approfondie de l’histoire peu commune du cognac, l’auteur met en lumière le rôle important joué par des marchands étrangers dans l’essor des ventes d’eaux-de-vie et le travail remarquable effectué par des viticulteurs charentais. Durant des siècles, la contribution de puissantes dynasties familiales a aussi orienté son destin en favorisant les plantations et sa promotion commerciale, tout en faisant face à de multiples crises.
Aujourd’hui, cette eau-de-vie s’identifie à une vieille cité marchande de la moyenne Charente. Elle est devenue un produit de luxe de la haute gastronomie française, sa notoriété est équivalente à celle du Champagne ou du Bordeaux.
Gilles Bernard, professeur de géographie, a consacré la majeure partie de ses recherches à l’histoire de l’économie du Poitou-Charentes. L’étude du vignoble charentais reste son grand domaine d’investigation. Il est l’auteur de deux thèses, de nombreux ouvrages et articles universitaires concernant les vignobles du Centre-Ouest français. Il a publié en 2008, le premier tome, , aux Presses Universitaires de Bordeaux.
Au travers d’une exploration approfondie de l’histoire peu commune du cognac, l’auteur met en lumière le rôle important joué par des marchands étrangers dans l’essor des ventes d’eaux-de-vie et le travail remarquable effectué par des viticulteurs charentais. Durant des siècles, la contribution de puissantes dynasties familiales a aussi orienté son destin en favorisant les plantations et sa promotion commerciale, tout en faisant face à de multiples crises.
Aujourd’hui, cette eau-de-vie s’identifie à une vieille cité marchande de la moyenne Charente. Elle est devenue un produit de luxe de la haute gastronomie française, sa notoriété est équivalente à celle du Champagne ou du Bordeaux.
Gilles Bernard, professeur de géographie, a consacré la majeure partie de ses recherches à l’histoire de l’économie du Poitou-Charentes. L’étude du vignoble charentais reste son grand domaine d’investigation. Il est l’auteur de deux thèses, de nombreux ouvrages et articles universitaires concernant les vignobles du Centre-Ouest français. Il a publié en 2008, le premier tome, , aux Presses Universitaires de Bordeaux.