En se penchant sur les réécritures de l’histoire pour le citoyen dans l’espace germanique et la France des Lumières et de la Révolution, ce livre apporte un regard nouveau et distancié sur les usages publics de l’histoire aujourd'hui, en France en particulier où le débat autour du roman national reste vif. La première partie de l’ouvrage, consacrée à l’exemplarité d’une histoire illustrée de gravures qui ont durablement marqué les représentations du passé, revisite la question des grands hommes, reproduit, traduit et analyse la circulation d’exemples édifiants entre les deux espaces.
La deuxième partie traite d’un mode de représentation pédagogique de l’histoire qui suscitait, et suscite toujours, la fascination tout en posant un défi de méthode : l’usage pédagogique d’un tableau permettant de saisir d’un seul coup d’oeil toute l’histoire d’un peuple voire de l’humanité tout entière, et d’en tirer des leçons politiques. L’idée, encore structurante aujourd’hui, d’un modèle politique ou pédagogique allemand ou français d’une écriture de l’histoire couplée, ou non, à la géographie est examinée ici au prisme des contextes précis où elle a été pensée.
La deuxième partie traite d’un mode de représentation pédagogique de l’histoire qui suscitait, et suscite toujours, la fascination tout en posant un défi de méthode : l’usage pédagogique d’un tableau permettant de saisir d’un seul coup d’oeil toute l’histoire d’un peuple voire de l’humanité tout entière, et d’en tirer des leçons politiques. L’idée, encore structurante aujourd’hui, d’un modèle politique ou pédagogique allemand ou français d’une écriture de l’histoire couplée, ou non, à la géographie est examinée ici au prisme des contextes précis où elle a été pensée.