Actes du VIIIe Congrès de l’Association Internationale d’Études Occitanes Bordeaux, 12-17 octobre 2005
Depuis l’an Mil, la langue d’oc, ou occitan, fait entendre en Europe une voix singulière, à travers une oralité à la richesse bien connue mais aussi à travers une tradition d’écriture qui va des Troubadours, inventeurs de la poésie lyrique moderne, à Frédéric Mistral et, au XXe siècle, à des auteurs aussi considérables que Max Rouquette ou Bernard Manciet.Réunis à Bordeaux à l’occasion du VIIIe congrès de l’Association Internationale d’Études Occitanes (AIEO), chercheurs, enseignants, étudiants ou simples amateurs venus des cinq continents ont entendu une centaine de communications portant sur la langue, la littérature et la civilisation occitanes, tant médiévales que modernes et contemporaines, dans une approche renouvelée qui les replace, au-delà du cadre étroitement français (on parle occitan aussi au Val d’Aran et dans plusieurs vallées du Piémont italien), dans l’ensemble européen.
Depuis l’an Mil, la langue d’oc, ou occitan, fait entendre en Europe une voix singulière, à travers une oralité à la richesse bien connue mais aussi à travers une tradition d’écriture qui va des Troubadours, inventeurs de la poésie lyrique moderne, à Frédéric Mistral et, au XXe siècle, à des auteurs aussi considérables que Max Rouquette ou Bernard Manciet.Réunis à Bordeaux à l’occasion du VIIIe congrès de l’Association Internationale d’Études Occitanes (AIEO), chercheurs, enseignants, étudiants ou simples amateurs venus des cinq continents ont entendu une centaine de communications portant sur la langue, la littérature et la civilisation occitanes, tant médiévales que modernes et contemporaines, dans une approche renouvelée qui les replace, au-delà du cadre étroitement français (on parle occitan aussi au Val d’Aran et dans plusieurs vallées du Piémont italien), dans l’ensemble européen.