On ne retient souvent d'une œuvre que quelques mots d'ouverture, un monologue, une phrase, un moment philosophique ou poétique. Ces fragments constituent une forme de mémoire du monde, que la collection "Translations" voudrait contribuer à maintenir vivante en faisant éprouver, à travers la présentation simultanée d'un texte et de ses traductions en des temps et des langues multiples, la force de rayonnement du monde écrit.
Samuel Taylor Coeridge, Kubla Khan (1797)
Fiche 1 Traduction française d’Étienne Vauthier (1934)
Fiche 2 Traduction française d’Henri Parisot (1939) Première traduction
Fiche 3 Traduction française de Germain d’Hangest (1945)
Fiche 4 Traduction française de Louis Cazamian (1946)
Fiche 5 Traduction française d’Henri Parisot (1947) Deuxième traduction
Fiche 6 Traduction française d’Henri Parisot (1975)Troisième traduction
Fiche 7 Traduction française de Camille Fort (2001)
Fiche 8 Traduction française de Michel Midan (2002)
Fiche 9 Traduction française de Gérard Gâcon (2005)
Fiche 10 Traduction française de Jacques Darras (2007)
Fiche 11 Traduction allemande de Wolfgang Breitwieser (1959)
Fiche 12 Traduction allemande d’Edgar Mertner (1973)
Fiche 13 Traduction espagnole de Ramón López Ortega (1978)
Fiche 14 Traduction espagnole de José María Valverde (1989)
Fiche 15 Traduction italienne de Mario Praz (1925)
Fiche 16 Traduction italienne de Mario Luzi (1949)
Fiche 17 Traduction russe de Constantin Balmont (1908)