Par une approche pluridisciplinaire et transséculaire, l’ouvrage interroge le rapport entre intime, création et douleur : douleur morale liée à des traumas divers (passion amoureuse dévorante, épreuve destructrice du deuil, expérience terrifiante de la guerre, de la mort) ou douleur physique liée à la maladie. Il pose la question - cruciale - de la représentabilité de l’intime : la douleur peut-elle donner accès au plus intime de soi ? Comment l’artiste met-il à nu les racines de l’être en conjuguant douleur, anéantissement de soi et création ?
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