Cet article fait état de la situation de la femme dans la guérilla guatémaltèque, en particulier à partir des années 70, qui ont vu se constituer deux groupes armés affichant une volonté de prendre en compte la question féminine comme le montre le matériel pédagogique destiné aux combattants analysé ici. Il souligne également certaines limites de cet engagement « féministe » face à l’orthodoxie marxiste propre à ces guérillas.