À partir de plusieurs approches disciplinaires (sciences de l’éducation, histoire, philosophie, sociologie), ce livre entend faire le point de l’état actuel des différentes pratiques d’enseignement de la philosophie en France. Ces pratiques confrontées à des expériences européennes (Belgique, Grande- Bretagne, Italie), à celles des différents acteurs en France, sont mises en perspectives et interrogées. Leur diversité fait sens et permet de comprendre les enjeux actuels d’un enseignement renouvelé de la philosophie dans le secondaire et à l’Université.
L’originalité scientifique de l’ouvrage est d’essayer d’articuler ces différentes perspectives afin de montrer comment l’enseignement de la philosophie dans les classes ou dans les amphithéâtres peut s’enrichir et se renouveler par des pratiques éprouvées depuis une vingtaine d’années : enseignement dans le primaire, en lycée professionnel, dans les UFR de médecine, par exemple. La confrontation à la pratique réelle des élèves et des étudiants, à la formation des enseignants, aux techniques d’enseignement et aux programmes permet d’envisager de façon sereine des évolutions et l’ouverture vers de nouveaux territoires où il serait possible de philosopher de façon solide et argumentée. La demande de la société civile en la matière est importante : les apports de la tradition éprouvée et les renouvellements en cours ont été l’objet d’un examen attentif dont cet ouvrage est l’expression.
L’originalité scientifique de l’ouvrage est d’essayer d’articuler ces différentes perspectives afin de montrer comment l’enseignement de la philosophie dans les classes ou dans les amphithéâtres peut s’enrichir et se renouveler par des pratiques éprouvées depuis une vingtaine d’années : enseignement dans le primaire, en lycée professionnel, dans les UFR de médecine, par exemple. La confrontation à la pratique réelle des élèves et des étudiants, à la formation des enseignants, aux techniques d’enseignement et aux programmes permet d’envisager de façon sereine des évolutions et l’ouverture vers de nouveaux territoires où il serait possible de philosopher de façon solide et argumentée. La demande de la société civile en la matière est importante : les apports de la tradition éprouvée et les renouvellements en cours ont été l’objet d’un examen attentif dont cet ouvrage est l’expression.