La correspondance de Louis Marie Auguste d’Estourmel (1754-1814), commandeur de l’ordre de Malte, avec ses proches, sa mère Marie Anne Elisabeth de Maizières, sa sœur Victoire Césarine, comtesse de Clermont-Tonnerre, et son fidèle ami le chevalier Charles de Beauclerc nous plonge dans l’histoire de l’ordre de Malte à la fin du XVIIIe et dans les premières années du XIXe siècle.
On suit les étapes de la carrière d’Auguste, entré dans l’ordre en 1755, presque à sa naissance, devenu chevalier puis receveur général et procureur de l’ordre en 1783, avant d’obtenir une commanderie à la veille de la Révolution. La vie à Malte et ses campagnes en mer sont retracées dans ses journaux de voyage et dans les lettres adressées à sa mère, de même que ses tribulations en vue de l’obtention d’une commanderie. La Révolution vient anéantir ses perspectives de carrière et l’existence même de l’ordre de Malte est remise en cause. Les lettres témoignent de son désarroi ainsi que des pérégrinations des chevaliers dans l’attente du devenir de l’ordre.
Dans cette correspondance, descriptions des événements politiques et ressenti personnel d’une situation dramatique se mêlent harmonieusement pour offrir une contribution très riche à l’histoire de l’ordre de Malte et illustrer la force des solidarités familiales et amicales qui caractérisent le milieu de la noblesse.
On suit les étapes de la carrière d’Auguste, entré dans l’ordre en 1755, presque à sa naissance, devenu chevalier puis receveur général et procureur de l’ordre en 1783, avant d’obtenir une commanderie à la veille de la Révolution. La vie à Malte et ses campagnes en mer sont retracées dans ses journaux de voyage et dans les lettres adressées à sa mère, de même que ses tribulations en vue de l’obtention d’une commanderie. La Révolution vient anéantir ses perspectives de carrière et l’existence même de l’ordre de Malte est remise en cause. Les lettres témoignent de son désarroi ainsi que des pérégrinations des chevaliers dans l’attente du devenir de l’ordre.
Dans cette correspondance, descriptions des événements politiques et ressenti personnel d’une situation dramatique se mêlent harmonieusement pour offrir une contribution très riche à l’histoire de l’ordre de Malte et illustrer la force des solidarités familiales et amicales qui caractérisent le milieu de la noblesse.
