Théâtre et éducation : la rencontre de deux univers qui s’approchent, s’attirent, se repoussent, chacun considérant l’autre comme un subordonné, chacun cherchant en l’autre une complémentarité, chacun reconnaissant l’autre dans son propre dépassement. Les points de rencontres et de frictions sont nombreux parce que cette relation complexe, charnelle et passionnée soulève des questions essentielles.
Le théâtre est-il un outil ou une fin en soi ? L’artiste doit-il être considéré comme un partenaire opportun ou incontournable ? Quels rapports théâtre et éducation entretiennent-ils ? Faut-il parler de théâtre d’éducation, d’éducation par le théâtre ou de théâtre et éducation ?
Le deuxième numéro de la revue Horizons/Théâtre se propose d’explorer la variété des rapports entre le théâtre et l’éducation, rapports multiples et variés selon les cultures et les espaces géographiques dans lesquels ils s’inscrivent, selon les lieux où ils interagissent, les dispositifs établis, les destinataires des actions.
Toutefois, il ne s’agit pas d’établir ici une liste exhaustive des possibles, un classement des recommandables pas plus qu’une doxa du savoir-faire, parce que les relations entre le théâtre et l’éducation sont en co-construction permanente en regard de la société qui les anime. Ces rapports supposent une nécessaire adaptation à des contextes, une analyse de terrains et d’expériences où les enjeux affectifs et humains restent primordiaux et incontournables, un regard ouvert sur d’autres pratiques et d’autres possibles dans le monde.
Le théâtre est-il un outil ou une fin en soi ? L’artiste doit-il être considéré comme un partenaire opportun ou incontournable ? Quels rapports théâtre et éducation entretiennent-ils ? Faut-il parler de théâtre d’éducation, d’éducation par le théâtre ou de théâtre et éducation ?
Le deuxième numéro de la revue Horizons/Théâtre se propose d’explorer la variété des rapports entre le théâtre et l’éducation, rapports multiples et variés selon les cultures et les espaces géographiques dans lesquels ils s’inscrivent, selon les lieux où ils interagissent, les dispositifs établis, les destinataires des actions.
Toutefois, il ne s’agit pas d’établir ici une liste exhaustive des possibles, un classement des recommandables pas plus qu’une doxa du savoir-faire, parce que les relations entre le théâtre et l’éducation sont en co-construction permanente en regard de la société qui les anime. Ces rapports supposent une nécessaire adaptation à des contextes, une analyse de terrains et d’expériences où les enjeux affectifs et humains restent primordiaux et incontournables, un regard ouvert sur d’autres pratiques et d’autres possibles dans le monde.
